Les Restes

Avec quelque retard, j'en conviens, je me propose, mes chers administrés, de vous compter mes aventures au concert des restes, samedi dernier (demerdez vous pour trouver la date, j'ai la flemme de chercher, mais apres tout, c'est pas important (on s'en fout).

17h: je retrouve adolf a firminy, nous prennons le bus, sans histoire, et nous arrivons dans le park qui est a coté de centre deux.

17h30 (aproximativement, en fait, pour tous vous dire, j'ai aucune idée de l'heure qu'il etait, je met au pif, par ce que ca fait plus style, Twenty-Four style, tu vois (on s'en fout).) Je fais la rencontre de celui qui deviendra mon meilleur pote dans les 30 secondes qui suivirent. François, pour les intimes. On écoute le nouvel album du Crou, on parle de la Force, des Médicloriens, et de Keldar, c'est l'osmose parfaite. Il me réconsilie meme avec le blanc, en me fesant gouter un petit vin du cru (de chez Auchan). Je me souviens plus du nom, si tu me lis, François, tu peut le metre en commentaire ?

Le soir, on va au concert. Je vole un pin's a l'entrée (il est d'ailleur actuellement collé sur mon ordinateur (on en a franchement rien a foutre, si j'arrete pas de l'ecrire depuis tout a l'heure, c'est pas pour la beautée de la réthorique, c'est bel et bien par ce qu'on en a rien a foutre, je sais que quand je dis "on en a rien a foutre" c'est un peu tordu comme formulation, mais, non non, ou plutot, si si, il faut bien comprendre "on en a rien a foutre". Erratum : c'est pas "on en a rien a foutre", c'est "on s'en fous". Nuance. Mais vous avez tres bien compris. Je m'arrete, ca deviens inintéréssant.).

Second evenement de la soirée (je saute les passages de mister téton, de la fille croisée dans une ruelle sombre a qui je parle du Crou, l'escalade dans le hall de l'immeuble, ceux qui étaient la se souviendrons, les autres penserons que j'ai une vie palpitante (ca va etre cool)) : La caissiere, est, comme tout le monde, sous l'emprise d'alcool. Je la connais vagement (okay, depuis 2 heures), et, comme j'ai un prospéctus qui me gene dans ma poche, je décide, fort lucidement, de le lui jeter au visage (vaut mieux etre bourré que con, ca dure moin longtemps). Je loupe mon coup (a la réfléxion, c'etait prévisible), et le prospéctus tombe dans la caisse. Et le dialogue suivant de se faire entendre :

Hey ! mais pour qui tu paye ?

Oui, vous avez bien compris, elle croit que je viens de jeter un billet dans la caisse...

Euh... Réfléxion... Comment tirer avantage de cette situation ? T'a raison ! Chui con ! Rend moi mon bifton steuplais.

Tiens. Oui, vous avez vu juste, elle vient de me donner un billet de 10€. Que j'ai bu avec mon nouveau meilleur ami, soit dit au passage.

Enfin, j'ai aussi bu la biere d'autres gens, cela dit. (Je bois dans la biere de tout ceux qu'il connait. Il connait tout le monde. Bieres Gratos. Ami généreux. => Murge gratos.

Bon, mes petits lapins, apres cet épisode culte, il me reste a vous apprendre comment je renouais avec les traditions familliales, marchait sur les pas de mon grand pere, en fesant du mineur de fond style.

On est relativement souls. On rentre chez lui (oui, j'avais oublié, j'ai pieuté chez lui je l'ai baisé). On rentre dans le chantier du tram. "Hey, y'a un tunnel, on va dedans ?" "ouais!".

On se retrouve dans le tunnel. Je trouve un casque. On plante des bougies dessus (je vous raconterais un autre jour comment j'ai trouvé les bougies. En fait, pour résumer, on les a trouvés, voila. Comme ca c'est fait.), et on explore une galerie a la lumiere de la bougie. Trop classe.

Je vais me coucher.